• Sommes-nous des Sisyphes ?

                                                                                                                                                                                                                                                                L’élément terre comme son nom semble l’indiquer fait partie d’un ensemble plus vaste qu’on appelle : l’univers.

    Difficile à gober, mais tout englobant est à son tour englobé parce qu’il n’y a rien d’absolu dans notre globe. Les espaces sont infinis et les temps sont indéfinis : Le battement d’aile d’un papillon peut tout faire vaciller. Qui parle d’effet domino ? L’effet domino…ne veut pas dire que c’est la cause qui domine l’effet mais paradoxalement, que c’est l’effet qui domine la cause. L’envers qui domine l’endroit. Et même si vous êtes assurés, votre train peut à tout moment dérailler. Ce n’est donc jamais rassurant de vous rassurer. Tout peut à tout moment basculer. Tout le réel où tout est lié, mais aussi tout le virtuel où tout est interconnecté… Nous ne sommes pas libres, nous sommes interdépendants. Heisenberg et son principe d’incertitude, Einstein et sa certitude sur la relativité de tout principe sont passés par là. Autrement dit, nous n’atteindrons les cibles que nous visons que si nous cessons de viser des cibles que nous ne pouvons pas atteindre comme la tranquillité, la prospérité ou la félicité. Nous sommes tous des Sisyphe, condamnés à exécuter une peine qui n’en vaut pas la peine. C’est la définition même du verbe vivre… il faut continuer à se battre, même si on n’a nulle envie de se battre. Si on s’arrête, c’est notre cœur qui cessera de battre. Adama, Assa ou moi : même combat. C’est notre lit, le conflit. Nul repos pour nous autres guerriers. C’est ce que l’on redoute le plus, je crois… de devoir reprendre la route… descendre puis remonter la pente sans se démonter… boire un Red Bull ou avaler quelque remontant pour tenir le coup. Ne soyez pas bouleversés que je vous dise que tout est bouleversant ou ce qui revient au même : rien ne l’est ! Relativisez ! Relativisez ! Il n’y a pas plus universel que le particulier comme accélérateur de particules. Il suffit d’un con et non de plusieurs, pour faire tout exploser. Un Tchétchène ou un petit dealer qui répand de la mauvaise graine, peuvent à tout moment mettre le feu aux poudres et tout faire sauter : la baraque et la baraka… la France et toute son espérance. Et alors ? Ça changera quoi ? Notre désarroi sera toujours le même. Nous trouverons d’autres raisons pour être aux abois… Nous nous inventerons d’autres combats. Nous nous remettrons dans l’embarras ! Pourquoi ? Parce que nous sommes les enfants de la nuit qui se renient le jour, non pour faire la lumière mais pour se défaire de l’ennui.  une info scénario

    #Dijon #dijontchetchen #violence #Sisyphe On ne peut pas regarder en face un monde qui vous tourne le dos !

    https://www.lejournaldepersonne.com/2... 

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