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LA POLITIQUE ET SES LIMITES FATALES...
C'est une gravissime perversion du jeu politique que de le bâtir sur une race, une région, une langue ou une religion parce que toute défaite que subirait un "parti" défendant une de ces options sera considérée comme une défaite de cette option et quand une race se sent défaite, elle réagit par l'exil ou la guerre, quand une région se sent défaite, elle est tentée par la sécession , quand une langue se sent défaite elle se ghettoise ou se révolte, et une religion n'accepte jamais d'être défaite car elle ne peut concevoir un Dieu non victorieux...
C'est aussi une gravissime perversion que d'endosser à un parti politique une épopée populaire car la défaite de ce parti signifie une défaite pour les principes que défendait cette épopée...
Je mets personnellement sur le même plan de la supercherie et du risque les partis se revendiquant de la race, de la région, de la langue, de la religion ou de la révolution...
Et je considère le FLN érigé en force politique d'être le fossoyeur de la Révolution et de ses idéaux comme je considère l'islamisme politique comme l'ennemi principal de l'Islam et le MAK qui défend à lui tout seul trois options: la région, la langue et la "race" comme la plus sérieuse menace contre la Kabylie, le kabyle et la kabyilité...
Et si vous trouvez absurde cette humeur de ce jour de jeûne, mettez la sur le compte du Ramadhan, il a toujours eu bon dos, et faites comme si... ma goult walou !« Pandémie de la dépense militaire (Il Manifesto)Covid-1948 : les Palestiniens commémorent le 72e anniversaire de la Nakba »
Tags : politique, defaite, region, race, langue
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Commentaires
♣ Nelson Mandela: « J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité à la vaincre. » ...
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