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♦ Pourquoi, tout d’un coup les médias s’intéressent-ils au Huntergate ?
Tandis qu’à la mi-octobre, le New York Post publiait des articles concernant la corruption de Hunter Biden, les médias sociaux ont censuré ces articles sous prétexte qu’il s’agissait de faussetés propagées par des agents russes. Le New York Post, Fox News et les médias conservateurs ont parlé de l’affaire et de ses répercussions sur Joe Biden, mais bon nombre d’Américains n’étaient pas au courant jusqu’à ce que le Président Trump en fasse mention lors du second débat présidentiel. Voici maintenant, que les médias, le New York Times en tête, ont décidé que tout compte fait, le Huntergate, susceptible de nuire à Joe Biden, peut servir les projets des Démocrates gauchistes radicaux qui souhaitent prendre le contrôle de la Maison Blanche en passant par Kamala Harris.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 11 décembre.
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Ce n’est pas pour rien que les médias parlent soudainement de la corruption de Hunter Biden
Dans le monde de la politique démocrate, il n’y a pas de coïncidence. En gardant ce principe à l’esprit, il est possible de comprendre pourquoi les médias pro-démocrates ont soudainement fait état de la corruption de Hunter Biden qui se répercute forcément sur son père.
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Selon la première théorie, il s’agit de devancer les éventuelles nouvelles de dernière minute annonçant l’arrestation imminente de Hunter.
La deuxième théorie est celle avancée par Monica Showalter :
Les gauchistes ont utilisé Joe Biden pour atteindre la Maison Blanche (du moins c’est ce qu’ils croient). Ils sont maintenant prêts à se débarrasser de lui. Que Joe Biden ait un fils délinquant est peut-être ce dont le camp Obama/Harris avait besoin pour y parvenir. Et s’il y a le moindre doute sur cette théorie, un article paru dans le New York Times semble la confirmer.
Nous, conservateurs, nous souvenons comment, en octobre, les médias et les géants des médias sociaux se sont entendus pour bloquer tout reportage concernant les méfaits de Hunter Biden, que ce soit les conclusions de la Commission sénatoriale du renseignement sur les 3,5 millions de dollars que Hunter a reçus de la femme d’un politicien russe, ou les détails choquants de corruption politique, de toxicomanie et de débauche sexuelle contenus dans son disque dur.
Pour les gens ordinaires, ces reportages étaient choquants. Pour les médias et les PDG des médias sociaux, ces reportages étaient des dangers potentiels pour la candidature de Joe Biden. Il fallait les arrêter – et c’est ce qui a été fait. Twitter et Facebook, les deux grands tyrans des médias sociaux, ont refusé de permettre la circulation de tout reportage et ont interdit à des personnes, dont l’attachée de presse du Président Trump, d’accéder à leurs plateformes lorsqu’ils ont refusé de se plier à cette censure.
Les médias ont tourné en dérision les reportages sur la corruption de la famille Biden, qui mettaient tous en cause Joe Biden comme étant l’homme qui a agi en proxénète de son propre fils drogué, pour collecter d’énormes sommes d’argent, comme s’il s’agissait d’un sujet sans importance. Ce n’est pas une exagération. C’est explicitement ce que le rédacteur en chef de la station de radio NPR a déclaré :
Nous ne voulons pas perdre notre temps sur des reportages qui n’en sont pas et nous ne voulons pas faire perdre leur temps à ceux qui nous écoutent ou nous lisent avec des reportages qui ne sont que des diversions.
De même, Christiane Amanpour de CNN, qui a été la complice de tous les régimes tyranniques de la planète, a insisté sur le fait que, parce qu’elle était une vraie «journaliste», ce n’était pas son travail d’enquêter sur ce genre d’histoire. Elle estimait que son travail consiste à déterminer si les résultats des enquêtes des autres correspondent à ses normes. De toute évidence, les reportages concernant le Huntergate ne correspondaient pas à ses normes.
De toutes les tromperies et la propagande diffusées par les médias à l’approche des élections pour justifier leur refus de rendre compte des documents concernant la corruption de Hunter Biden – alors qu’ils savaient qu’ils étaient authentiques et qu’ils ne venaient pas de Russie – les justifications de Mme Amanpour étaient peut-être les plus étonnantes.
Lorsque le Président Trump a essayé de porter cette histoire à l’attention des Américains lors du second débat présidentiel, Joe Biden a rétorqué qu’il s’agissait de désinformation russe, un mensonge que les médias et les tyrans des Big Tech ont diffusé avec enthousiasme.
Mais voici soudain que les médias se mettent à publier des informations sur les enquêtes criminelles concernant non seulement Hunter Biden mais aussi le frère de Joe, James Biden.
En fait, ces enquêtes sont en cours depuis des années.
Nous savons également qu’un nombre important d’électeurs auraient voté contre Joe Biden et pour Donald Trump s’ils avaient été informés de la corruption de la famille Biden.
Alors, que se passe-t-il ? Pourquoi Hunter et, par extension, Joe lui-même, deviennent-ils tout d’un coup des proies faciles ?
Il se pourrait que de mauvaises nouvelles soient sur le point d’être révélées par le FBI. Après tout, M. Trump a promis que « beaucoup de choses importantes » se produiraient bientôt.
La vague soudaine de reportages sur la famille Biden pourrait être un moyen utilisé par les Démocrates afin de prendre de l’avance, de sorte que, si Hunter est montré en train de se faire coffrer comme suspect, ils puissent dire que c’est « de l’histoire ancienne ».
Cependant, il est tout aussi probable que les Démocrates aient pour projet de jeter Joe Biden hors du Bureau Ovale aussi vite que possible – ou peut-être, de le mettre sur la touche avant même qu’il ait prêté serment (en supposant, bien sûr, que M. Biden s’accroche à ce titre de président élu).
Comme Monica Showalter l’a souligné jeudi, M. Biden ne fait pas le bonheur des gauchistes. Il remplit son éventuelle administration d’initiés, il veut qu’un ancien officier militaire dirige le Département de la défense et il continue à montrer un déclin cognitif très rapide. Il propose une politique de l’ère Clinton avec un côté démentiel et ce n’est pas ce que veut la gauche dure du parti.
En tout cas, le but, toujours, a été de faire entrer Kamala à la Maison Blanche. Le fait que les électeurs ne l’aiment pas n’a pas eu et n’a toujours pas d’importance – comme le montre le fait que même son État d’origine, la Californie, ne l’a pas appréciée et qu’elle s’est retirée prématurément des primaires. Ce qui importe, c’est qu’elle est, contrairement à Hillary et Joe, le véritable troisième mandat de Barack Obama.
Mme Harris est aussi gauchiste qu’ils le sont à l’heure actuelle et elle est prête à faire tout ce qu’il faut pour se maintenir au pouvoir.
Alors que Joe Biden, malgré sa corruption et son virage à gauche, conserve un certain attachement à la Constitution, Kamala ne s’encombre pas de ce genre d’idées démodées.
Les Américains en général ayant enfin appris que Hunter Biden et James Biden sont des escrocs et que Joe est le grand arbre corrompu d’où sont tombées ces pommes pourries, il va y avoir beaucoup de pression sur Joe pour qu’il prenne sa retraite aussi vite que possible.
C’est le New York Times qui a révélé le jeu des gauchistes.
Jeudi, il a publié un article mélancolique intitulé « L’enquête sur son fils risque de pendre au-dessus de la tête de Joe Biden alors qu’il prend ses fonctions: À moins que le Département de la justice du Président Trump innocente Hunter Biden, le nouveau président sera confronté à la perspective de voir sa propre Administration s’occuper d’une enquête qui pourrait exposer son fils à des poursuites pénales ».
Le paragraphe d’introduction parle de Joe Biden se trouvant dans une « situation sans issue » qui pourrait être « politiquement et juridiquement périlleuse », et le reportage continue dans la même veine.
Le sous-texte est clair : Allez-y ! Partez maintenant !
Joe a rempli son rôle de façade terne d’une invasion gauchiste de la Maison Blanche. Il est maintenant temps pour lui de partir. Et même si ses supérieurs le récompensent pour un travail bien fait en lui offrant le plaisir de l’inauguration, vous pouvez être sûr qu’ils feront pression pour qu’il fasse ce qu’il a promis de faire, c’est-à-dire inventer une maladie respectable et démissionner dès que possible.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Americanthinker Pourquoi, tout d’un coup les médias s’intéressent-ils au Huntergate ? (dreuz.info)
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